Chocolat et gâteaux

Pour les amateurs (ou amatrices en ce moment!! Désolée, y'avait pas de nutella!)

Du bon chocolat!






Quelqu'un dans la meringue italienne?


Les macarons!


Trempés dans le chocolat blanc!

Elea a écrit:

Quelqu'un dans la meringue italienne?

Moi je dirais plutôt, vu la photo, "qui met la meringue dans l'italienne?", mais bon... lolllllllll

Ok, je ne suis plus là!

C'est tes hormones qui te travaille David?
ok je aussi!

Bon, euh, ça me gêne pas que vous plaisantiez mais vous pourriez peut-être en même temps faire un commentaire plus avancé? Non?Parceque, j'ai des doutes concernant cette série.

Plus sérieusement... si si ^^
Tes lumières sont assez bizarres... La 2 est bien, pas de zones cramées ou bouchées, mais malgré tout l'image conserve du relief, du dynamisme...
Les 1 et 5 sont "plates", sans relief, car il n'y a pas de zones très sombres. En plus y'a du cramage de hautes lumières sur la 5 ^^.
3 et 4 ne me parle pas, pareil à cause des lumières... (regarde la 3: en haut c'est bien éclairé, l'arrière plan aussi, mais pas le chocolat qui tombe en bas...
La dernière = lumière rasante mais c'est quand même débouché, donc le relief du à l'éclairage principal est gommé, il apparait comme "partiel", et c'est assez troublant en fait...

Alors, quand c'est bouché, ça va pas et quand c'est débouché nan plus haha.
Par contre, je trouve pas du tout que la 1 soit plate.

Vi... ^^
Faut pas que l'image soit "surcontrastée", c'est à dire bourrée de zones de hautes lumières qui tranchent avec d'autres zones bouchées, mais il ne faut pas non plus qu'elle soit plate, c'est à dire sans contraste, car elle perd complètement son dynamisme, avec à la clé des rendus genre "pastel". Même si cela peut donner de beaux résultats sur certains types d'images (en particulier naturalistes et sur certains paysages), ça ne se prête pas à tous les sujets, en particulier si ceux-ci sont déjà par principe très épurés par de faibles quantités de couleurs. Exemple: un paysage contrasté est typique d'une scène lumineuse, mais s'il est très fortement décontrasté, c'est qu'il y a du brouillard ou alors un sale temps sans soleil! ^^ ça a beau être le même paysage, "l'ambiance" qui résulte de chaque scène (et donc de ses caractéristiques de contraste) n'ont rien à voir... Et aussi sûr qu'un paysage ensoleillé est la plupart du temps "graphique" (c'est à dire qu'il propose une vaste gamme de possibilités de prise de vue), c'est largement moins le cas en cas de brouillard, à moins de tenir compte de ce contexte précis pour valoriser la scène de façon très différente...

Regarde sur ton image les zones de basse lumière entre les grains de chocolat, c'est débouché, certes, mais trop lumineux, gommant le contraste général de l'image et lui conférant un côté très "plat". Pour t'en convaincre définitivement, passe la en noir et blanc, et tu comprendras très vite le pourquoi du comment, ainsi que les incidences, de ce côté plat: plus de sujet déterminant à l'image, c'est devenu un "ensemble" plus ou moins homogène...

Tout ça c'est une affaire d'éclairage... Et c'est justement pour maîtriser cela que l'on parle en studio d'un éclairage principal et d'un éclairage d'ambiance, c'est à dire d'un point d'éclairage qui illuminera la scène, qui la sculptera aussi naturellement que possible (3 quart haut, pour simuler l'incidence d'une lumière naturelle: le soleil...), et un ou plusieurs autres points dont la vocation sera de "controler" en partie les effets de l'éclairage principal, c'est à dire les ombres... Tout est dit! Si l'éclairage d'ambiance est plus "puissant" que l'éclairage principal, les rôles s'inversent, ben oui! Si l'éclairage d'ambiance est de même "puissance" que l'éclairage principal, l'image devient homogène et "plate", si l'éclairage d'ambiance est moins puissant, celui-ci garde bien son statut de complément d'éclairage dont la vocation est avant tout de limiter les basses lumières... Un exemple? Les flashs annulaires en macro: parce qu'ils créent un éclairage global uniforme, ils "aplatissent" le relief du sujet, contrairement à l'usage de deux flashs dont on peut faire varier la puissance l'un de l'autre (un principal et un ambiance... on y reviens...).
Bon, y'a aussi la question de la position de ses éclairages, mais je vais pas non plus faire un mémoire sur les éclairages discontinus de studio, je doute que ça intéresse grand monde! ^^

Bas moi contrairement au chef j 'aime bien la 3 car je trouve que le manque de lumière donne de la force à la couleur du chocolat, les autres j'accroche moins.

Merci David pour les précisions. Il y'a des jours où je me dis que je ne suis pas arrivée, loin de là.
Merci Bruno.

Si nous étions arrivés comme tu le dis ou serait l'intérêt???